- Muralisme:
-
L’utilisation
des
surfaces
murales
comme
support
de
la
peinture
est
le
lien
d’union
entre
l’architecture
et
la
peinture.
-
Dès
la
peinture
rupestre
jusqu’au
muralisme
contemporaine,
nous
trouvons
que
les
images
qu’on
a
par
archétypiques
d’une
civilisation
presque
toujours
on
les
rencontre
sur
une
peinture
murale.
La
puissance
de
son
message
irrésistible
perdure,
et
il
devient
référent
d’un
espace
et
d’un
temps.
-
Toute
architecture
quand
elle
est
sûre
d’elle-même,
quand
elle
est
en
plénitude,
elle
devient
polychrome.
-
On
crée
la
peinture
murale
pour
un
espace
déterminé
et
concret,
s’exécute
"in
situ";
en
se
souvenant
des
conditions
de
lumière,
les
angles
de
vision,
la
proportion
et
la
proximité.
L’émotion
qu’on
a
devant
l’œuvre
c’est
la
même
que
le
spectateur
sentira.
-
C’est
comme
l’opéra
des
arts
plastiques,
interdisciplinaire,
et
qu’il
va
plus
loin
d’un
format
linéal.
Le
marc
souvint
est
complexe,
tridimensionnel,
architectonique.
On
doit
favoriser
l’architecture
dès
la
conception
picturale.
Souvint,
on
l’enrichie
avec
éléments
de
trompe
l’œil
jouant
avec
le
clair-obscur..
L’ornementation
aussi
on
doit
la
prévoire
comme
si
des
marges
d’une
page,
du
pas
partout
c’était,
pour
que
la
tension
artistique
puisse
reposer,
et
créer
les
plusieurs
épicentres
compositeurs.
-
Les
règles
compositrices
sont
les
mêmes,
mais
elles
se
voient
interagies
par
l’ensemble.
-
On
utilise
souvint
le
nom
"fresque"
comme
synonyme
de
murale.
-
La
peinture
à
fresque
c’est
la
plus
associée
à
la
peinture
murale
parce
qu’elle
est
la
unique
qu’on
peut
faire
uniquement
sur
le
mur.
Mais
aussi
on
peut
user
la
peinture
à
la
détrempe
ou
l'encaustique.
-
La
peinture
murale,
donc,
c’est
d’une
grande
complexité,
d’une
extraordinaire
richesse,
et
d’une
importance
majeure
pour
comprendre
une
civilisation.
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